




Croiser les doigts est un geste universel de protection, une prière silencieuse pour conjurer le mauvais sort. Dans cette sculpture appelée « Providence », la main amplifie ce rituel par une torsion démesurée, répétée, comme une spirale de vœux. Elle traduit à la fois la vulnérabilité et la puissance humaine face à l’incertitude.
Dans un monde fragilisé par le dérèglement climatique, les tensions politiques et l’individualisme croissant, cette main devient porteuse d’un double message : nous aurons besoin de chance — mais surtout de la volonté de la provoquer.
La providence, un hasard salvateur, une chance imprévisible, un secours attendu.
→ Terre Chamotté noir
→ 32 cm x 12 cm x 10 cm
→ Printemps 2025